« Mon art se rapporte au temps, au corps et à l’esprit dans une sorte de légende microscopique où l’infiniment petit et l’intemporel ne cessent de se conjuguer et de se réinventer »
Il s’agit d’une démarche relativement originale puisque les successions de touches apposées sur la toile permettent, en prenant de la distance, de voir naître une véritable œuvre bien souvent inspirée de l’Art aborigène.
La peinture aborigène contemporaine s’est faite connaître dans les années 1970 grâce à des peintres aborigènes nés dans le désert qui ont décidé de peindre sur des surfaces planes des représentations des légendes sacrées de leurs peuples.
En s’inspirant de l’art aborigène, Éric propose un rêve cellulaire qui se développe et s’étoffe sur la toile.